Harcelée par son voisin, la femme de Marquinhos explose

Les Marquinhos ont eu maille à partir avec un voisin qui leur a fait vivre l’enfer, selon l’épouse du défenseur parisien.

La vie parisienne des Marquinhos n’est pas de tout repos. En mars 2021, le domicile dans les Yvelines du capitaine parisien avait en effet été cambriolé. Alors que le PSG affrontait Nantes au Parc des Princes, trois hommes s’étaient introduits dans la villa de l’ancien Romain en présence du père du joueur, qui avait été violenté. Au final, le préjudice du vol s’était seulement élevé à 1.500 euros en numéraire, en plus de sacs de luxe mais deux hommes ont été condamnés, jeudi, à sept et cinq ans de prison pour pour vol avec violence, séquestration et association de malfaiteurs.

Mais les Marquinhos ont eu d’autres problèmes ces derniers mois. En atteste le cri du coeur de l’épouse du joueur de la Seleçao sur Instagram. Carol Cabrino y a exposé dans le détail ses problèmes de voisinage. « Je ne l’ai jamais dit, mais j’ai de sérieux problèmes avec mon voisin. Il nous embête depuis que j’ai déménagé. J’ai emménagé dans cette maison il y a longtemps. J’avais déjà Duda et j’étais enceinte d’Enrico. Et rapidement, il s’est plaint de mes chiens, qu’ils aboient beaucoup. Un dimanche, à midi, il est déjà venu frapper chez moi. C’est arrivé quand j’étais enceinte d’Enrico, de Martina. »

‘Tu penses que tu es au Brésil ?’

« C’est allé jusqu’à un stade où il a inventé plusieurs mensonges, disant que je l’insultais, a-t-elle poursuivi. Une fois, il a dit qu’un homme, qui était mon père, l’avait maudit. Mais c’était un mensonge car mon père ne parle même pas français. Il a inventé diverses choses pour que la police vienne chez moi. La police est venue et s’est excusée car c’est son travail puisqu’il y a un appel. »

Et Marquinhos a également eu maille à partir avec ce voisin indélicat. « Il a commencé à insulter Marquinhos un jour en disant des choses comme : ‘Tu penses que tu es au Brésil ?’ », a-t-elle révélé, ajoutant néanmoins que ces problèmes étaient derrière eux puisque le voisin avait fini par déménager.