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La mère de Rabiot a fait dégoupiller Al-Khalaïfi

La mère de Rabiot a fait dégoupiller Al-Khalaïfi

Nasser Al-Khelaïfi ne garde pas un bon souvenir de Véronique Rabiot, impitoyable lors des discussions au sujet de son fils.

La visite de la Juventus à Paris, dimanche, sera l’occasion pour deux anciens joueurs du club de se rappeler au bon souvenir du PSG. Car si Angel Di Maria, qui aurait pu recevoir l’hommage du Parc des Princes qu’il n’a pas eu à la fin de la saison dernière, a dû déclarer forfait, Leandro Paredes et Adrien Rabiot seront bien là et devraient même débuter la rencontre dans l’entrejeu turinois.

L’international tricolore a laissé un goût amer au sein du club parisien. La faute à son départ libre de tout contrat. Les dirigeants parisiens n’ont pas ménagé leurs efforts pour parvenir à convaincre leur jeune joueur et sa mère, qui gère sa carrière, de poursuivre l’aventure à Paris. Mais rien n’y a fait. Véronique Rabiot a toujours entretenu des relations compliquées avec les responsables des Rouge et Bleu. Que ce soit avec Olivier Létang, avec lequel elle refusait de parler puisqu’il n’avait pas un passé de haut niveau, Leonardo ou Nasser Al-Khelaïfi.

France Football raconte d’ailleurs une anecdote révélatrice. Alors qu’elle a été conviée par Nasser Al-Khelaïfi dans un palace parisien afin de discuter de l’avenir de son fils, Véronique Rabiot se montre si cassante avec le président parisien, multipliant les piques, qu’il préfère quitter la table. Un geste fort qui a sans doute scellé pour de bon le départ de l’ancien Toulousain.  « Elle se fout complètement du matricule de la personne qu’elle a en face, a ainsi confié un ancien proche de la famille Rabiot. Elle s’adresse à tout le monde de la même façon. Noël Le Graët ou Nasser al-Khelaïfi, c’est pareil pour elle. Rien n’est plus important que la destinée de son fils. Elle n’est pas du tout impressionnée par l’autorité et elle n’a pas peur des portes qui claquent. Si on l’aime, tant mieux, si on ne l’aime pas, elle s’en fout. Elle avance. »

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