Neymar, départ validé

Alors que le PSG s’active pour trouver une porte de sortie à Neymar, Emmanuel Petit estime qu’un départ du Brésilien serait une bonne chose pour les deux parties.

En fin de contrat, Lionel Messi pourrait bien ne pas être la seule star du PSG à quitter la capitale. Si Marco Verratti ou même Sergio Ramos, à condition d’une baisse drastique de salaire, devraient être conserver, Neymar n’entre plus dans les plans du club de la capitale et les champions de France travaillent activement à son départ. Et cette fois, les dirigeants parisiens s’en cachent à peine.

Surtout, alors qu’il était jusque là déterminé à poursuivre l’aventure à Paris, le Brésilien serait bien plus ouvert à un départ. Conséquence notamment de la manifestation des ultras parisiens devant son domicile. Un épisode marquant qui a scellé le divorce entre les deux parties. Et pour Emmanuel Petit, il est désormais inconcevable de voir l’ancien Barcelonais rester à Paris, un départ lui apparaissant indispensable, pour le club comme pour le joueur.

Pour le bien des deux parties, il faut que l’histoire se termine maintenant

« Je l’ai toujours défendu et même plus depuis quelques semaines surtout avec la horde sauvage qui s’est présentée à son domicile en l’insultant lui et sa famille et en lui demandant de se casser. On le traîne dans la boue alors que ça fait déjà deux ans qu’il s’en prend plein la tronche », a ainsi commenté l’ancien champion du monde au micro de RMC, ajoutant: « Mais je le redis, Neymar, va-t’en ! Fais comme Messi, allez-vous-en. Ne restez pas ici en France et à Paris. »

« L’accumulation de choses qui se sont passées sur et en-dehors du terrain, c’est allé extrêmement loin dans l’agressivité et sur les choses qui ont été dites sur lui. Moi je suis à la place de Neymar mais jamais je reste dans ce club, a-t-il renchéri. Et je suis persuadé que Neymar n’a plus du tout envie de rester ici. Et je trouve que ça serait une bonne chose pour le PSG car lorsqu’un divorce est acté, ce n’est pas la peine d’essayer de trouver un avenant au divorce. Pour le bien des deux parties, il faut que l’histoire se termine maintenant. »