Ramos viré, le PSG y pense

Toujours pas en état de jouer un match, Sergio Ramos est dans une situation inquiétante. Le PSG ne perd pas espoir avec son joueur, mais une fin précoce n’est plus exclue.

A ce stade, on se demande si la question n’est pas de savoir quand Sergio Ramos jouera son premier match avec le Paris Saint-Germain, mais plutôt s’il sera un jour en mesure de retrouver le chemin des terrains. Arrivé en juillet dernier dans la capitale française, l’ancien défenseur iconique du Real Madrid est constamment blessé depuis. Son dernier match remonte au mois de mai dernier, une demi-finale de Ligue des champions qu’il avait joué (en forçant), avant de mettre ensuite un terme à sa saison.

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Bref, le cas Ramos interpelle, et amène le PSG à se poser des questions. Et même à envisager tous les scénarios. « L’option d’une résiliation, bien qu’elle ne soit pas à l’ordre du jour, ne tient plus de la science-fonction », révèle ainsi Le Parisiens ce lundi. Selon le quotidien, « Paris a intégré le fait qu’il ait pu se tromper dans son choix ». D’autant que les premiers signaux d’alerte remonteraient au premier jour, celui de la visite médicale du champion du monde 2010.

Il a toujours mal

On est encore très loin d’une rupture entre le PSG et Ramos, alors que le joueur avait signé cet été un contrat de deux ans (avec un salaire ronflant, estimé à plus de 10 millions d’euros par an). Mais il n’a rien d’incongru à imaginer le pire quand on voit que le retour de l’ancien Sévillan est repoussé de semaine en semaine.

Opéré du genou en début d’année, victime de problèmes musculaires qui seraient liés à des compensations, Ramos n’arriverait pas à s’entraîner sans douleur, et paierait selon Le Parisien « son envie d’aller plus vite que la médecine ». Il aurait en effet repris l’entraînement trop vite à plusieurs reprises, lors de ses derniers mois au Real Madrid. Les dernières nouvelles concernant Ramos évoquaient une reprise des séances collectives avec le PSG dès cette semaine. Mais personne ne serait surpris en cas de nouveau contretemps…

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